Vu de ma fenêtre, y'a que des bâtiments,
Si j'te disais que je vois de la verdure, tu saurais que je mens,
Et puis pour voir un bout de ciel, faut se pencher franchement,
Mais vas-y viens chez moi, on regardera par la fenêtre.
Si j'te disais que je vois de la verdure, tu saurais que je mens,
Et puis pour voir un bout de ciel, faut se pencher franchement,
Mais vas-y viens chez moi, on regardera par la fenêtre.
Tu comprendras pourquoi je rigole, pourquoi je crains,
pourquoi je rêve, pourquoi j'espère,
Surtout le printemps, surtout l'été, surtout l'automne, surtout l'hiver.
Surtout le printemps, surtout l'été, surtout l'automne, surtout l'hiver.
-Grand Corps Malade
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